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Le Linkwheel en SEO qu’est-ce que c’est ?
Une Linkwheel, également appelée roue de liens, une de stratégie de référencement naturel utilisé pour l’optimisation des moteurs de recherche. Cette technique de référencement consiste à créer plusieurs sites web de même thématique liés les uns aux autres, puis à les faire pointer tous vers le même site destiné à être positionné parmi les pages de résultats de Google (généralement un E-commerce ou money site).
L’interconnexion entre ces différents sites web se construit sous la forme d’une roue. C’est-à-dire que le site un (référent E-commerce) sera lié au site deux, le site deux sera lié au site trois et ainsi de suite jusqu’à ce que vous ayez connecté 20 ou 30 propriétés par des liens entrants.
Bien qu’une roue de liens peut être très positive afin d’améliorer le positionnement d’un site web au sein des SERP, quand elle est faite correctement, il est important de noter que cette stratégie de netlinking reste une technique apparentée au Black Hat SEO.
En effet, cette technique ne respecte pas la charte de référencement SEO de Google, car son but et de gonfler de façon artificielle la notoriété et l’autorité (PageRank) de un ou plusieurs domaines. Les créateurs de ce genre de réseaux s’exposent donc à de possibles pénalités encourues à leur encontre de la part de Google.
Qu’est ce qu’une roue de lien aléatoire ?
Par essence, une linkwheel aléatoire ressemble à une toile d’araignée contenant des liens où l’on essaie de tirer parti de l’utilisation de différents sites internet, plateformes web 2.0 et blogging, etc. Afin augmenter le jus de lien (ou linkjuice) qui aboutira dans un site web principal par le biais de backlinks redirigeant vers celui-ci.
Alors que les roues de liens en cercle sont faciles à explorer par les moteurs de recherche, car elles décrivent un chemin clair à suivre, les roues de liens aléatoires sont presque impossibles à suivre quand elles sont créées correctement.
La roue de liens aléatoires est généralement créée de manière à ce qu’aucun chemin direct vers le site référant ne puisse être détecté dans la roue. Les professionnels du référencement usants de cette technique veillent donc à ne pas laisser de trace que les moteurs de recherche pourraient suivre.
Dans une roue de liens aléatoires, seuls cinq ou dix sites redirigent vers le site Web principal. Les liens restants renvoient vers des outils crées à l’intérieur du système, le but étant que ces liens ne suivent aucun modèle particulier afin de limiter la probabilité d’être détecter par les robots crawler des site référenceurs.
Parmi les outils utilisés afin de brouiller les pistes et que liens de retour aient l’air le plus naturel possible, nous pouvons compter des plateformes Web 2.0 ayant une haute autorité aux yeux de Google comme : Squidoo, WordPress, Tumblr, Weebly etc..
Est ce qu’une Linkwheel peut-être détectée et pénalisée par Google ?
La réponse à la question est OUI, à partir du moment où une roue de liens est créée dans l’intention de tromper les moteurs de recherche et non pas de mettre en valeur le réseau de contenu qui le compose.
Si elle est mise en œuvre correctement, une linkwheel peut être un moyen sûr d’améliorer la visibilité d’un site web au sein des moteurs de recherche, d’ailleurs certaines agences de référencement SEO proposent de mettre en place ce genre de système pour votre projet Web comme Linkwheel.pro.
Cependant, il est important de prendre certaines précautions, par exemple: en diversifiant les adresse IP d’où proviennent les liens de retours, les noms de domaines, ne pas utiliser le même texte d’ancrage pour les baclinks et liens hypertextes , etc…
Selon google et sa politique officielle (la réalité est différente.) les liens qui pointent vers un site ne peuvent en aucun cas nuire à sa situation dans l’indexation des pages de résultats des moteurs de recherche, sinon il serait très facile d’effectuer ce que l’on appelle du “negative seo“. Dans le pire des cas, Google peut tout simplement ignorer les liens.
Conclusion
Auparavant, dans le travail de référencement organique le maître-mot en linkbuilding était “plus il y en a, mieux c’est”, depuis quelques années, depuis l’apparition des algorithmes Google Pingouin et Panda, ce n’est plus le nombre de liens, mais leur qualité qui tend à être privilégiée. Cependant, il est vrai qu’il y a des secteurs et des niches où il est difficile d’obtenir des liens naturellement.
Comme nous l’avons compris, il faut absolument fuir les schémas établis on l’on essaie de tromper le moteur de recherche, car Google détecte facilement ce genre de schémas, car son algorithme y est préparé.
Toute stratégie de référencement naturelle doit être conçue pour donner de l’autorité et augmenter la confiance perçue par les sites référenceurs en apportant un contenu de qualité et original.
La création de linkwheels ne peut pas se faire rapidement, ce sont des stratégies qui prennent généralement entre 6 et 9 mois minimum et beaucoup tombent dans l’erreur d’automatiser le processus.
Soyez prudent avec les outils de filage automatique comme Senuke, magicarticlewritter, etc. Car ces programmes automatisent des processus tels que la création de compte, la vérification de l’adresse e-mail, la rupture des captchas et l’introduction de contenu.
Tout n’est pas tout noir (black-hat-SEO) ou tout blanc (white-hat-SEO), le tout étant de travailler avec les moteurs de recherche sans chercher à les tromper.
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